Passer son permis pour réduire les inégalités

Projet
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Description

1 an
81 805 €
Nouvelle-Aquitaine
Ce projet est co-financé par le
FSE
42 880 €
Thématique(s):

Grâce à l'intervention de l'Europe, et plus précisément du Fonds social européen (FSE), les personnes bénéficiaires du RMI (Revenu minimum d'insertion) peuvent passer le permis de conduire dans la région Poitou-Charentes.

Grâce à l'intervention de l'Europe, et plus précisément du Fonds social européen (FSE), les personnes bénéficiaires du RMI (Revenu minimum d'insertion) peuvent passer le permis de conduire dans la région Poitou-Charentes.

Le centre social intervient sur trois communautés de communes (Cognac, Jarnac et Segonzac). L'auto-école est destinée à répondre aux problèmes d'apprentissage et de l'obtention du permis de conduire, afin de contribuer à l'insertion sociale et professionnelle de jeunes et d'adultes en difficulté.

Le projet de l'auto-école associative a bénéficié d'aides du Fonds social européen à hauteur de plus de 42 000 ?. Il s'agit plus précisément de permettre l'obtention du code et du permis de conduire en prenant vraiment en compte les spécificités du public bénéficiaire du RMI (besoin de plus de leçons, apprentissage du code avec des outils spécifiques). Ce dispositif concerne l'ensemble du public bénéficiaire du RMI indépendamment du sexe, de l'âge ou de la qualité de personne handicapée. Les opérations sélectionnées devront répondre aux besoins de chacun et tenir compte des spécificités des personnes.

 

Emplacement

Ce projet se situe dans la région
Département
Charente
Commune
Angoulême

Détails du financement

Ce projet est co-financé par le(s) fonds
à hauteur de (part UE)
42 880 €

Bénéficiaire

Établissement public / Collectivité
Conseil général de la Charente

L'objectif de cette auto-école est de contribuer à l'insertion et à la réinsertion sociale ou professionnelle de jeunes ou d'adultes en difficulté.
Elle vise également à réduire les inégalités liées aux problèmes de mobilité sur le territoire, et donc à lutter contre la discrimination dans l'accès à l'emploi.
J'ai en tête l'exemple d'une femme, qui élevait seule ses enfants, qui est restée 2 ans au sein de l'auto-école et qui a fini par obtenir son permis. Elle est aujourd'hui mobile et a pu trouver un emploi.
Si nous n'avions pas perçu le FSE, nous n'aurions pas pu ouvrir.

Serge Lebreton, Responsable auto-école

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